Aujourd’hui, je vous raconte mon face à face avec un authentique Sumo. Et vous en saurez plus également sur ma visite des jardins impériaux, des alentours du palais, et, pour finir, du district Asakusa.
On y va ?
L’arène des Grands Tournois de Sumotori : Ryogoku Kokugikan
J’ai commencé ma visite par l’arène dédiée aux grands tournois de Sumotori, à savoir le Ryogoku Kokugikan. Malheureusement il n’y avait pas de combat à voir ce jour-là.
Ceci-dit, j’ai quand même pu profiter des stands de concession dans les locaux, et aussi du musée du Sumotori, très populaire aussi, à l’instar de cet art martial ancestral. En plus, j’ai appris qu’il s’y déroulait aussi d’autres événements dont des concerts.
Face à face avec un Sumo !
Tout d’un coup, en poursuivant mon exploration, je me suis retrouvé face à face (involontairement) avec un Sumo. Pour tout vous avouer, je visitais le musée et suis descendu sans savoir que j’allais vers leur salle d’entraînement. Quelle prestance et quelle présence ! Effectivement j’ai été impressionné.
Et en même temps, nous avons rigoler de cette situation tous les deux. Ce n’est donc pas étonnant qu’ils ont été, et peut-être est-ce encore le cas aujourd’hui, considérés et respectés comme des demi-dieux. En y repensant maintenant, j’éprouve toujours autant de respect et d’humilité pour ces athlètes.
Visite des alentours du Palais Impérial, et balade dans les jardins.
Ensuite j’ai visité les alentours du Palais Impérial et les jardins du même nom. Du coup, comme à chaque fois, j’ai pris mon temps pour appréciés ces trésors Nippons, ainsi que la nature environnante.
Pour l’Histoire, ce Palais était d’abord la résidence des Tokugawa pendant l’ère Edo, donc le Shogunat. Puis, lors de la Grande Révolution Meiji, il est devenu le Palais Impérial, lorsque l’Empereur, parti de Kyoto, y a élu domicile avec sa famille à la fin de 1868.
Une partie seulement est ouverte au public, comme le Parc Est du Palais. Sur les photos, vous pouvez aussi admirer le pont Nijubashi, en face de l’entrée principale.
Et enfin, comme vous pouvez le constater, les jardins sont le parfait reflet du savoir-faire des japonais en la matière. Par ailleurs, histoire de resituer le contexte, nous étions en décembre 2015.
Nakadori : entre boutiques d’aujourd’hui et d’autrefois
Puis, non loin de là, j’ai visité une rue typiquement orientée marques connues. Ceci-dit, bien que très commerciale, c’est dans Nakadori que ce côtoient les boutiques, restaurants, et monuments d’aujourd’hui, et d’autrefois.
Encore une fois, ce quartier respire l’harmonie entre l’ancien et le nouveau, entre le traditionnel et le moderne.
Et pour l’anecdote, le nom d’une boutique ressemble étrangement à une certaine ville d’Alsace 😉 .
Tokyo Station
Par la suite je me suis rendu à la gare pour la visiter, ayant entendu qu’elle valait le détour, selon les habitants du quartier et les touristes.
En fait la Tokyo Station a vu sa construction achevée en 1914, et tient donc une place importante dans le patrimoine historique Japonais. Effectivement, c’est un bâtiment de style Renaissance en briques rouges qui a été reconstruit et restauré après les deux conflits mondiaux, mais également en 2012, dans sa forme originelle.
De plus, l’intérieur de la gare est pourvu de commodités diverses, de trois rues : Central Street, GranSta, et Keiyo Street, avec des magasins et des restaurants.
Un quartier ayant gardé son charme de l’ère Edo : Asakusa
Alors là, attention les yeux. En effet, ce district est magnifique avec ses temples, ses rues authentiques et pittoresques, ces petits stands, et bien entendu ces restaurants typiques.
Par ailleurs, j’ai également dîné dans un autre excellent restaurant de sushis. Et ce fut pile comme au temps des samouraïs ! Et c’était exactement l’ambiance que j’étais venu chercher.
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