Le plus souvent, les gens qui ont besoin d’un coaching de vie et qui procrastinent de cette manière le font parce qu’ils ont peur.
Cette dernière peut revêtir plusieurs aspects.
Pour commencer, il y a la peur de la critique. On se dit souvent « Et si je me lance la dedans, que vont en penser les autres ? ».
Ensuite il y a la peur du lendemain. C’est le « Si je me lance la dedans, de quoi je vais vivre demain ? ».
Enfin il y a la peur de l’inconnu. On pense généralement « Si je me lance la dedans, je ne sais pas si je vais réussir, il n’y a aucune garantie ».
Suivre un coaching de vie permet de mettre en place des solutions comme celles qui suivent.
En ce qui concerne la peur de la critique une suggestion est de passer davantage de temps avec les personnes positives qui vous encouragent qu’avec les personnes négatives qui vous dépriment. Si vous n’avez pas le choix, créez-vous une barrière anti-négativité et ne vous laissez pas influencer (je sais cela peut s’avérer difficile mais le jeu en vaut la chandelle).
Pour contrer la peur du lendemain, une bonne solution est dans un premier temps de garder ce qui vous fait vivre en attendant de pouvoir vivre de votre projet, tout en cumulant l’exécution des deux tâches sans vous donner d’excuses (du style j’ai pas le temps, j’ai déjà un travail, j’ai deux enfants, etc.).
Et pour en finir avec la peur de l’inconnu, il n’y a qu’une seule solution : passez à l’action en recherchant les informations dont vous avez besoin, puis lancez-vous. Quand on fait ce que l’on craint le plus la peur n’y survit pas.
Et si vous échouez ?
Tirez en alors les enseignements et recommencez en tenant compte de ce que vous aurez appris. Au besoin, demandez de l’aide à votre coach de vie, et si vous n’en avez pas, recherchez-en un.