Le dictionnaire défini le terme mentor comme étant un guide, un conseiller avisé et expérimenté, le synonyme étant inspirateur (source : linternaute.com).
Pour le terme coach, il s’agit, pour le sens qui nous concerne ici, d’un conseiller en entreprise qui tente, par un accompagnement psychologique, de développer les compétences d’une personne ou d’un groupe de personnes (source : linternaute.com).
Cela requiert un certain nombre de qualités.
Il faut aimer apprendre et enseigner ce que l’on a appris, mais aussi être à l’écoute de ses filleuls et prospects, dans le but de trouver des solutions aux problèmes qu’ils rencontrent, sans rien attendre en retour.
Mon mentor, Michael Dlouhy, l’auteur du Succès en 10 étapes parle de ne pas avoir d’agenda.
Bien entendu, il faut aussi être intègre et honnête, c’est à dire savoir dire les choses telles qu’elles sont, avec diplomatie, mais sans pour autant chercher à plaire à tout le monde.
Il est également indispensable d’être patient, persévérant et concentré.
Mais cela nécessite également des compétences.
Il est indispensable de savoir définir ses objectifs et apprendre aux autres à faire de même.
Une autre compétence vitale est de maîtriser le leadership, c’est à dire accompagner par l’exemple, et non diriger avec autorité. Le leadership n’est PAS du management.
Bien entendu un bon coach pratique le développement personnel de manière perpétuelle, régulière et continue (merci Vanessa pour la partie de votre commentaire qui en parle).
Chose évidente, il faut connaître un minimum le marketing en réseau. Le minimum étant d’en maîtriser les bases.
Ensuite, il est crucial de savoir se servir de l’expérience de ceux qui ont réussi. Contrairement à une croyance assez répandue, il n’est pas forcément nécessaire d’avoir plusieurs années d’expérience à son actif, bien que cela soit un plus fortement appréciable.
Par contre il est évident qu’il faut toujours soi-même être actif dans cette industrie.
Enfin, un bon mentor saura être capable d’identifier un système prouvé et duplicable, c’est à dire un système de parrainage qui marche pour le plus grand nombre, et pas seulement pour quelques-uns, et, par la même, de l’enseigner.
Car cela est bien plus qu’un métier : c’est une passion !
Tout ce que vous dîtes est bien vraie! Avec mon mari, nous avons décidé de donner des ateliers de MdR, pour apprendre les principes de base de cette activité. Nous nous servons des deux livres de John Kalench. Avec sa « formation du nouveau distributeur », nous avons un outil facilement duplicable. Merci de vos bons conseils, bien pertinants Alicia et Vincent
Avec Plaisir Alicia et Vincent 🙂 ! J’ai également lu « Actualiser votre potentiel avec le Marketing de réseau » de cet auteur et m’y réfère encore de temps en temps car c’est un bon guide en effet. Très bonne journée.